“Réformer la fin de vie était l’une des grandes ambitions du deuxième quinquennat d’Emmanuel Macron”, rappelle Le Soir, mais aujourd’hui, le projet de loi est à l’“agonie”. Alors que ce dernier était bien engagé au printemps 2024, la dissolution de juin avait brutalement mis en pause sa discussion, alors même que l’introduction d’une aide active à mourir est “plébiscitée par une très large majorité de citoyens”, précise le journal belge. En effet, un sondage Ifop de mai 2024 rapportait que neuf Français sur dix y étaient favorables.
Mais alors que les débats parlementaires devaient reprendre en ce début d’année 2025, le Premier ministre, François Bayrou, a annoncé ce lundi 21 janvier vouloir scinder en deux le texte législatif, afin de séparer la question de l